ELEMENTS DE CONTEXTE
HISTOIRE
DEMOGRAPHIE
L’enquête sur la démographie et la santé en Guinée équatorial de 2011, montre que la moyenne par logement est de 4,6 personnes. 56% des foyers ont accès à l’eau potable (82% en zone urbaine) et 66% possède un éclairage électrique (93% en zone urbaine). Site Africatime
CONTEXTE SOCIO-ECONOMIQUE
La République de Guinée Equatoriale a la particularité d’avoir un PIB par habitant très élevé et un indice de développement humain très bas. Malgré une croissance rapide grâce à la production d’hydrocarbures, la pauvreté augmente et les conditions de vie de la majorité de la population, mesurées par les indicateurs classiques (mortalité infantile, espérance de vie, …) se dégradent. Le pays est typiquement une “économie d’enclave”, la croissance d’un secteur isolé n’ayant aucun effet d’entraînement sur les autres secteur. Il s’agit d’une croissance sans développement. En l’absence de politique volontaristes pour corriger ces déséquilibres, la majorité de la population équato-guinéenne ne profite pas des bénéfices engendrés par le secteur pétrolier.
Entre 1994 et 2004, la population est considérée comme vivant en extrême pauvreté, soit avec moins d’un dollar par jour. (1)
SECTEUR DE L’EDUCATION
Une alimentation déficiente, un accès inadéquat aux soins de santé et à l’eau potable,… un poids très faible à la naissance … sont autant d’explications de la faible réussite scolaire des enfants. 10% seulement des élèves atteignent leur 5me année sans redoubler ! (1)
L’HABITAT
HISTOIRE DES VILLES – PATRIMOINE
HABITAT URBAIN
HABITAT RURAL
Aspects légaux
DROIT AU LOGEMENT
Depuis 1995, l’Article 13 de la Constitution stipule que chaque citoyen jouit des droits et libertés suivants : libre circulation et résidence. Source : CETIM (publication COHRE)
EXPULSIONS FORCEES
DROIT FONCIER
Le pays ne se distingue pas des autres pays forestiers d’Afrique équatoriale. Les fang, pas plus que les boubi ne semblent avoir une forte tradition du droit de propriété, sous la forme de propriété privée individuelle. Si la coutume d’une propriété communautaire collective des terres villageoises existe bel et bien, celle-ci souffre de limitations importantes. La terre ou la forêt villageoise n’est ni vraiment aliénable par l’échange marchand ni rigoureusement reconnue et protégée par la loi moderne, car l’Etat en dispose sans devoir dédommager les communautés “propriétaires” d’origine. (1)
ACCAPAREMENT DES TERRES
PRATIQUES INTERESSANTES
Aspects sociaux et économiques
MARCHE DU LOGEMENT
QUALITE DES LOGEMENTS
HABITAT INFORMEL / BIDONVILLE / SANS-ABRI
ROLE DES POUVOIRS PUBLICS
Aspects culturel – religieux – symbolique
Aspects écologiques
Bibliographie & Sitographie
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Guinée équatorial : une croissance sans développement ?, Kiari Liman Tinguiri, membre du PNUD, STATECO N°105, 2010. Télécharger le document