TOUR DU MONDE DE L’HABITAT VU PAR LA SOCIÉTÉ CIVILE

Guinée Équatoriale

#Mots-clés : Dernière mise à jour le 4 septembre 2015

ELEMENTS DE CONTEXTE

HISTOIRE

DEMOGRAPHIE

L’enquête sur la démographie et la santé en Guinée équatorial de 2011, montre que la moyenne par logement est de 4,6 personnes. 56% des foyers ont accès à l’eau potable (82% en zone urbaine) et 66% possède un éclairage électrique (93% en zone urbaine). Site Africatime

CONTEXTE SOCIO-ECONOMIQUE

La République de Guinée Equatoriale a la particularité d’avoir un PIB par habitant très élevé et un indice de développement humain très bas. Malgré une croissance rapide grâce à la production d’hydrocarbures, la pauvreté augmente et les conditions de vie de la majorité de la population, mesurées par les indicateurs classiques (mortalité infantile, espérance de vie, …) se dégradent. Le pays est typiquement une “économie d’enclave”, la croissance d’un secteur isolé n’ayant aucun effet d’entraînement sur les autres secteur. Il s’agit d’une croissance sans développement. En l’absence de politique volontaristes pour corriger ces déséquilibres, la majorité de la population équato-guinéenne ne profite pas des bénéfices engendrés par le secteur pétrolier.

Entre 1994 et 2004, la population est considérée comme vivant en extrême pauvreté, soit avec moins d’un dollar par jour. (1)

SECTEUR DE L’EDUCATION

Une alimentation déficiente, un accès inadéquat aux soins de santé et à l’eau potable,… un poids très faible à la naissance … sont autant d’explications de la faible réussite scolaire des enfants. 10% seulement des élèves atteignent leur 5me année sans redoubler ! (1)

L’HABITAT

HISTOIRE DES VILLES – PATRIMOINE

HABITAT URBAIN

HABITAT RURAL

Aspects légaux

DROIT AU LOGEMENT

Depuis 1995, l’Article 13 de la Constitution stipule que chaque citoyen jouit des droits et libertés suivants : libre circulation et résidence. Source : CETIM (publication COHRE)

EXPULSIONS FORCEES

DROIT FONCIER

Le pays ne se distingue pas des autres pays forestiers d’Afrique équatoriale. Les fang, pas plus que les boubi ne semblent avoir une forte tradition du droit de propriété, sous la forme de propriété privée individuelle. Si la coutume d’une propriété communautaire collective des terres villageoises existe bel et bien, celle-ci souffre de limitations importantes. La terre ou la forêt villageoise n’est ni vraiment aliénable par l’échange marchand ni rigoureusement reconnue et protégée par la loi moderne, car l’Etat en dispose sans devoir dédommager les communautés “propriétaires” d’origine. (1)

ACCAPAREMENT DES TERRES

PRATIQUES INTERESSANTES

Aspects sociaux et économiques

MARCHE DU LOGEMENT

QUALITE DES LOGEMENTS

HABITAT INFORMEL / BIDONVILLE / SANS-ABRI

ROLE DES POUVOIRS PUBLICS

Aspects culturel – religieux – symbolique

Aspects écologiques

Bibliographie & Sitographie

  1. Guinée équatorial : une croissance sans développement ?, Kiari Liman Tinguiri, membre du PNUD, STATECO N°105, 2010. Télécharger le document

PROBLEMES MAJEURS SELON LA SOCIETE CIVILE :

REVENDICATIONS MAJEURES DE LA SOCIETE CIVILE :

QUELQUES ACTEURS DE LA SOCIETE CIVILE :